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CONSTRUIRE UNE MAISON EN ALGERIE : COMMENT JE SUIS TOMBEE DANS L'IMMOBILIER

Dernière mise à jour : 17 nov. 2022

CONSTRUIRE UNE MAISON EN ALGÉRIE : COMMENT JE SUIS TOMBEE DANS L'IMMOBILIER


Un jour, lorsque j’étais enfant, j’ai entendu mes parents parler de « construire une maison en Algérie ». Je crois bien que c’est là qu’à commencé à naitre mon amour pour l’immobilier. Mon envie de devenir propriétaire sans la banque est venue plus tard. Je vous raconte ?



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CONSTRUIRE UNE MAISON EN ALGÉRIE

Comme je vous le disais un peu plus haut, lorsque j’étais enfant, j’ai entendu mes parents parler de « construire une maison en Algérie ».

.

Ce projet leur a pris plusieurs années. Notamment parce qu’ils n’étaient pas sur place.


En effet, nous vivions, ma famille et moi, en France. La gestion du chantier ne pouvant pas se faire à distance, mes parents l’ont naturellement déléguée à une personne de confiance, en Algérie.


J’ai vu et entendu mes parents parler de :

  • Chantier

  • Travaux

  • Fondations solides avec ou sans garage

  • Particularités d’une construction en montagne (les maisons glissent un peu chaque année. Vous le saviez ?)

  • Matière première

  • Stock

  • Payer les ouvriers

  • Pertes sèches

  • Plans de la maison

  • Crédit qui coûte cher

Ils parlaient de beaucoup d’autres choses. Ce qui m’a le plus plu est : la gestion et le coût des stocks et des matières premières. Probablement parce que j’étudiais la comptabilité à ce moment-là.


Et ce qui m’a le plus fascinée, c’était de voir, de regarder et d’observer en détail les plans de la maison en Algérie, réalisé par un architecte.


Voilà ! vous savez comment je suis tomée dans l'immobilier.


L’IMMOBILIER EXPLIQUE PAR MON PÈRE


Tous les 2 ans, nous allions en Algérie pendant les vacances d’été.


Quand j’y pense, c’était vraiment un gros budget ! Voyager à 12 (oui, je viens d’une très grande famille), financer toute la vie (école, vêtements, nourriture, charges incompressibles, etc.) et financer une construction à l’étranger : wow !


Et tout cela se faisait via un ou des crédits bancaires.


La maison se construisait à un certain rythme. Pas assez vite, selon mes parents. Je les comprends ! Ils avaient hâte qu’on s’y installe, au moins l’été.


Nous passions nos vacances dans la maison de ma grand-mère. C’était une petite maison en pierre.


Il y avait 2 pièces, une grande cour, une petite cuisine et un WC. Nous nous douchions dans la cuisine, sans eau courante.


A travers cette fameuse maison, bien plus grande et construite sur un terrain en pente (presqu’au sommet d’une montagne de Grande Kabylie), j’apprenais les fondements d’un domaine que je pensais inaccessible.


L’immobilier expliqué par mon père était d’une simplicité déconcertante.


Avec le recul, je me dis que j’aurai dû me lancer dedans à 18 ans, lorsque j’ai commencé à gagner de l’argent. Mais ça me semblait impossible. Pour un tas de raison (dont je vous parlerai peut-être un jour, qui sait ?).



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LA FORMATION EN CONTINUE


Comme je vous le disais plus haut, j’ai étudié la comptabilité. J’ai fait des études pour devenir cheffe d’entreprise. C’était mon rêve absolu. Celui que je voulais réaliser à tout prix.


Je rêvais de devenir auteure et cheffe d’entreprise. J’ai beaucoup travaillé pour y arriver. Et j’ai réussi ! Je sais que c’est très cliché, mais c’est la vérité.


Je rêvais aussi de voyager et d’être partout chez moi. Donc, je m’imaginais avoir des maisons partout dans le monde. Seulement, je ne savais pas du tout comment faire.


Parce que je viens d’un milieu pauvre. Après 10 ans de chômage, mon père était ouvrier, ma mère, mère au foyer avant de devenir femme de ménage. Et j’ai 9 frères et sœurs. Nous vivions en HLM de banlieue.


Forcément, on m’a dit et répété que je devais travailler fort à l’école, plus que les autres (parce que je m’appelle Malika, que je viens de banlieue et que je suis handicapée !). Naïvement, j’ai cru que c’était ce que je devais faire.


Mais, sans même m’en rendre compte, j’ai fait de la formation en continue. J’aime tellement l’immobilier que j’ai regardé, lu et écouté tout ce que j’ai pu sur le sujet. Et je continue de le faire chaque jour !


C’est ainsi qu’au fil des années, j’ai développé une réelle expertise dans le secteur de l’immobilier.


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2021 : NAISSANCE DE LOC’AT HOME 33


(Attention, storytelling ^^) En 2010, je divorçais d’un époux violent. J’étais mère célibataire en CDI à temps plein. Et je cumulais des dizaines d’heures supplémentaires, en espérant réussir à joindre les 2 bouts. Sans jamais y arriver !


C’était même de pire en pire !! Je m’enfonçais chaque jour un peu plus dans les problèmes financiers.


Lorsque j’ai fait le bilan de ma situation financière, j’ai halluciné !


  • J’avais plus de 12 000 € de dettes

  • Je ne pouvais plus payer mon loyer

  • Ni subvenir aux besoins de ma famille


C’était l’horreur ! Je me suis effondrée en larmes. Puis, je me suis fait une promesse : celle de m’en sortir et d’écrire un livre dans lequel j’expliquerai à toutes les femmes qui en ont besoin, comment sortir définitivement de l’endettement et devenir financièrement autonome.


Et j’ai réussi ! Ce livre s’appelle « FINI LES DETTES ! ». Il a déjà aidé des dizaines de femmes à (re)prendre le contrôle de leurs finances et de leur vie. « FINI LES DETTES ! » est disponible juste ici.


Je deviens financièrement autonome, me remarie, quitte mon CDI et crée ma première entreprise (dans le secteur de la mode) alors que je suis enceinte de 5 mois.


Je la ferme 2 ans plus tard. Et réalise mon premier rêve : devenir auteure ( www.malika-virin.com )


En 2020, je me forme à la sous-location légale avec MUSLIM IMMO (cliquez ici pour en savoir plus – lien affilié).


2021 : LA NAISSANCE DE LOC’AT HOME 33


Je fais le pire choix du monde : devenir auto-entrepreneure. Et je signe un premier bien, via un bail dérogatoire.


Après « quelques déconvenues » je crée enfin ma SASU ; et, en 2021, c’est la naissance de LOC’AT HOME 33.


Je signe un bail dérogatoire qui me permet d’exploiter le studio d’un propriétaire, très bien placé et hyper rentable. Mais je sens que quelque chose cloche.


Je n’arrive pas à savoir ce que c’est vraiment. J’ai cette idée en tête : je peux (et veux) devenir propriétaire.


Même si la sous-location légale est présentée comme le meilleur modèle économique qui existe (hum hum), moi je sais que c’est faux. Et je me sens ralentie, handicapée par le paiement des loyers, et tout un tas d’autres choses.


Les feux de forêts dans le Sud-ouest de la France (où je vis), en Algérie et dans le reste du monde me rappellent à l’ordre ! Je veux créer autre chose, sortir des sentiers battus, faire quelque chose de différent et de vraiment utile. Maintenant !


Je décide donc de rendre les clés et de me lancer dans un projet qui me tient à cœur et dont je rêve depuis un moment : proposer des logements pour des séjours éco responsables. Avec toujours les mêmes critères de sélections (ma formation ne m’a pas servie à rien !).


Voilà où j’en suis aujourd'hui, au moment où je rédige cet article :


  • Dans 2 jours, je ferai et signerai l’état des lieux sortants d’un studio que j’ai adoré redécoré et qui est hyper rentable (parce que super bien placé, avec de belles prestations)

  • Je cherche un terrain bien situé, à moins d’une heure de chez moi (pour m’y rendre facilement)

  • Je réorganise tout mon quotidien pour me concentrer dessus et commencer à gagner de l’argent rapidement

  • Je fais de mon mieux pour augmenter mes revenus pour autofinancer l’achat immobilier. Car oui, je ne vous l’ai pas dit ! J’achète sans la banque.


A très vite !

Malika


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